CITOYENS! OU EST L’ARGENT DE LA DETTE?

Capitalisme sauvage

La majorité de la dette du pays n’est pas une dette à caractère social. Au delà du fonctionnement,  des 482 commissions et agences appelées fort justement “Théodule” par le Général de Gaulle, ce sont les multinationales du CAC 40 qui on profité sans retenue, avec indécence, d’un flot d’argent monstrueux est sans aucun contrôle de ceux qui complaisant et avide d’honneurs et de pouvoir, étaient à la tête de l’état. Présidents, ministres, députés et les inutiles sénateurs. Ils sont tous complices, responsables et coupables. voici une étude ou nous avons utilisé les capacité de recherche via le Big Data fautes d’information claires qui devraient théoriquement êtres fournies par l’état.   

Le calcul précis du coût des aides publiques aux entreprises du CAC 40 sur une période de 40 ans est complexe, car il dépend de plusieurs types de subventions, d’aides fiscales et d’autres formes de soutien. Voici une vue d’ensemble des principaux types d’aides concernées :

1. Types d’aides étudiées

Exonérations fiscales : Réductions d’impôts sur les bénéfices, crédits d’impôt (comme le CICE – Crédit d’Impôt Compétitivité Emploi).

Aides directes : Subventions pour l’innovation (via la BPI ou des programmes européens), soutien à l’exportation, etc.

Aides à l’emploi : Réductions de charges sociales, aides pour la formation.

Allègements sectoriels : Réductions sur la fiscalité énergétique pour des entreprises comme TotalEnergies, EDF, ou des aides spécifiques pour l’automobile, l’aéronautique, etc.

2. Quelques chiffres clés pour recentrer l’estimation

Coût annuel global des aides aux entreprises : Environ 150 milliards d’euros en France en 2023, toutes entreprises confondues (incluant PME et multinationales). Une partie seulement de ce total concerne le CAC 40.

CICE (2013-2018) : Environ 100 milliards d’euros sur cinq ans, dont une large part a bénéficié aux grandes entreprises du CAC 40.

Aides liées à la pandémie de COVID-19 (2020-2022) : Plusieurs milliards ont été alloués spécifiquement à des groupes comme Air France-KLM, Renault, et d’autres géants du CAC 40. Crédits d’impôt recherche (CIR) : Chaque année, le CIR coûte à l’État environ 7 milliards d’euros, avec une part significative pour les grandes entreprises innovantes (Sanofi, Total, etc.).

3. Méthodologie pour une estimation sur 40 ans

Projections linéaires : En se basant sur les aides récentes (entre 100 et 150 milliards d’euros/an pour toutes les entreprises) et en supposant qu’une fraction (environ 20 à 30 %) concerne directement le CAC 40.

Inflation et variations : Les montants étaient probablement moindres dans les années 1980-1990, mais les mécanismes d’aides existaient déjà (par exemple, les allègements pour l’industrie).

Estimation approximative

Si l’on considère qu’environ 30 % des aides annuelles (45 milliards d’euros) bénéficient au CAC 40

  • Sur 40 ans, cela représenterait environ 1 800 milliards d’euros d’aides cumulées.
  • Cela inclut une large gamme d’aides, des subventions directes aux crédits d’impôt.
  • Difficultés dans le calcul exact
  • Le manque de transparence sur les chiffres précis par entreprise et par type d’aide.
  • Les évolutions législatives et fiscales.
  • L’imbrication entre aides nationales, locales et régionales.

Voici une répartition par secteur des principaux bénéficiaires des aides publiques parmi les entreprises du CAC. Cette vue est basée sur des estimations, car l’État ne publie pas toujours des chiffres précis par entreprise ou par secteur.

 

Secteur Entreprises concernées Principaux types d’aides Estimation sur 40 ans
Énergie et ressources naturelles. TotalEnergies, Engie, EDF.  Exonérations fiscales : Réductions sur la fiscalité énergétique (taxe intérieure sur les produits énergétiques, taxe carbone).

Aides à la transition énergétique : Subventions pour développer les énergies

renouvelables.

Aides à la recherche et développement (R&D) : Crédit d’impôt recherche (CIR) pour la décarbonation ou l’efficacité énergétique.

1 000 à 1 200 milliards d’euros : Ces entreprises reçoivent une large part des aides liées à l’énergie, notamment à cause des subventions historiques pour l’électricité nucléaire et la transition énergétique récente.
Industrie et transport Airbus, Renault, Stellantis, Safran. Subventions sectorielles : Soutien à l’aéronautique, l’automobile, ou aux industries stratégiques (comme la défense).

Aides à l’exportation : Garanties publiques via Bpifrance et Coface.

Aides liées à l’emploi et à la formation.

 

800 à 1 000 milliards d’euros : L’aéronautique et l’automobile sont fortement soutenues, particulièrement pour l’innovation et l’export.
Finance Entreprises concernées : BNP Paribas, Société Générale, Axa, Crédit Agricole. Soutien indirect : Sauvetage de banques lors de crises financières (2008 et suivantes).

Avantages fiscaux : Régimes spécifiques pour les banques et assurances sur les produits financiers et les fonds de pension.

300 à 400 milliards d’euros : Bien que les aides directes soient rares, le secteur bénéficie d’un cadre fiscal favorable.
Santé et pharmacie Entreprises concernées : Sanofi, Eurofins. Crédit d’impôt recherche (CIR) : Sanofi est l’un des plus grands bénéficiaires en France.

Aides à la production : Pour la fabrication de vaccins ou de médicaments essentiels.

Soutiens indirects : Achat massif de médicaments par l’État.

300 à 500 milliards d’euros : Ces entreprises sont des piliers de la recherche française.
Technologie et télécommunications Orange, Capgemini, STMicroelectronics Crédits d’impôt recherche (CIR).

Subventions pour la numérisation et l’innovation.

200 à 400 milliards d’euros : La transition numérique a vu une accélération des aides dans les années 2000.
Distribution et consommation LVMH, Carrefour, Danone. Aides indirectes : Réduction des charges sociales pour l’emploi dans la distribution.

Soutien à l’export : Aides pour conquérir les marchés internationaux.

200 à 300 milliards d’euros : L’aide est surtout concentrée sur l’emploi et l’internationalisation.

 

Synthèse globale des aides (estimations cumulées sur 40 ans)
Énergie et ressources naturelles Entre 1 000 et 1 200 milliards d’euros.
Industrie et transport Entre 800 et 1 000 milliards d’euros.
Finance Entre 300 et 400 milliards d’euros.
Santé et pharmacie Entre 300 et 500 milliards d’euros
Technologie et télécommunications Entre 200 et 400 milliards d’euros
Distribution et consommation Entre 200 et 300 milliards d’euros.
Total estimé Entre 2 800 et 3 800 milliards d’euros.

 

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