Le masque chez les enfants, une maltraitance sans fondement scientifique

Ce que l’on sait et qui fait scientifiquement consensus depuis depuis 2020

Les enfants souffrent exceptionnellement des décisions gouvernementales au sujet  du Covid19. Sur plus de 46 millions d’infectés recensés par l’OMS le 3 novembre 2020, les enfants ne comptent que pour 2%.

Les enfants font des formes bénignes Sur 7,5 millions d’enfants et d’adolescents français, Santé publique France n’a comptabilisé que 3 décès contre 8 à 10 annuels de la grippe saisonnière durant les trois dernières années.  Pour les enfants et adolescents le covid19 représente donc un risque bien plus faible que la grippe ordinaire.

Les chaînes de contamination sont beaucoup plus faciles à analyser au début de l’épidémie lorsque l’incidence dans la population est faible car le risque d’un contact parasite méconnu est beaucoup plus rare. Pour cette raison, nous avons focalisé nos recherches sur les observations de début de l’épidémie beaucoup plus probante que les tentatives d’analyses tardives.

L’origine familiale de l’infection des enfants est retrouvée dans la quasi-totalité des cas cliniques rapportés.Après un an d’épidémie et plus de 46 millions d’infectés, aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré.

Les enquêtes sur les cas identifiés en milieu scolaire suggèrent que la transmission d’enfant à enfant à l’école est rarissime (si elle existe) et qu’elle n’est pas la principale cause d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les enfants dont le début de l’infection coïncide avec la période pendant laquelle ils fréquentent l’école, en particulier dans les écoles maternelles et écoles primaires.

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

– L’étude de l’Inserm 12 est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

– L’étude de l’institut Pasteur13 sur les écoles primaires de Crépy en Valois, a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

Nous ne détaillerons pas toutes les études réalisées dans de nombreux Pays, la conclusion est la même, l’enfant n’est pas un vecteur de contamination par le SARSCOV-2 ou Covid 19.

Le masque est inefficace contre le Covid !

Il n’existe aucune preuve scientifique de l’efficacité du port de masque généralisé à la population contre la transmission du covid1921 . Une macroanalyse de la fondation Cochrane de 2011 conclue : « rien ne permet d’affirmer que le port du masque à lui seul permette de se protéger efficacement des virus respiratoires. Les masques filtrants n’ont pas prouvé de supériorité aux masques chirurgicaux. La distanciation physique d’un mètre n’a pas non plus prouvé son efficacité ».

Une actualisation de cette macroanalyse en cours a été rapportée par F Pesty22 « Par rapport à l’absence de masque, il n’y a pas eu de réduction des cas de syndromes grippaux » D’ailleurs le port du masque n’est conseillé par l’OMS que pour les personnes malades (pour protéger les autres des postillons et des grosses gouttelettes) et pour les soignants au contact de malades (pour protéger les soignants).

Le port du masque inefficace

L’évolution récente de l’épidémie en Europe montre que le port généralisé du masque n’est pas efficace. Dans les pays nordiques seulement 5 à 10 % des personnes affirment porter un masque dans les lieux publics depuis le début de la crise alors qu’en France, Espagne et Italie ce taux atteint 70 à 80 %. Mais malgré leur taux très bas d’utilisation des masques, les pays nordiques peuvent se targuer d’une incidence de nouveaux cas hebdomadaires23 nettement inférieure à celle des pays masqués (266/M en Finlande, 549/M en Norvège, 992/M en Suède et 1198/M au Danemark contre 1973/M en Espagne,2893/M en Italie, et 4226 en France). En situation réelle le port du masque ne parait donc guère efficace.

Mesures inutiles

Compte tenu de l’absence de contagiosité des enfants et des adolescents, et de l’inefficacité des masques, les mesures imposées aux enfants et adolescents apparaissent complètement inutiles, ubuesques sinon pour entretenir la panique-soumission.

Toutes les sociétés de pédiatrie françaises critiquent les mesures sanitaires inutiles imposées aux enfants. Dans un communiqué les sociétés françaises de pédiatrie soulignent l’absence de logique médicale, le danger et les incohérences des mesures sanitaires imposées par le gouvernement.

« Nous ne pouvons que nous montrer inquiets devant l’organisation de la rentrée telle qu’elle se profile, tant sur le plan de la prévention que de celui de la prise en charge des enfants. »

Abus des prélèvement nasopharyngés chez l’enfant

Elles s’opposent à la pratique généralisée des tests par prélèvements nasopharyngés chez l’enfant : « la pratique des prélèvements nasopharyngés quasi-systématiques (tels qu’ils sont recommandés aujourd’hui) chez les enfants présentant une fièvre, des signes respiratoires ou digestifs n’est pas si anodine qu’elle peut le paraître. »

 En effet, dès fin Mai 2020, les pédiatres ont lancé une large étude (VIGIL) pour préciser les indications et le rendement de la PCR chez l’enfant. Plus de 1500 enfants symptomatiques, venus consulter aux urgences pédiatriques ou dans les cabinets pédiatriques, ont été prélevés après exclusion d’un diagnostic clinique rendant très improbable la COVID19.

Le taux de positivité des PCR chez les enfants n’ayant pas de contage connu avec un cas avéré de COVID 19 était de 1%, alors qu’il était autour de 10% chez ceux ayant été en contact avec une personne porteuse du virus, en particulier dans l’entourage familial. Ces tests actuels nasopharyngés, outre leur aspect désagréable et nécessairement répétitifs chez les enfants (les épisodes viraux durant la saison froide étant bien plus fréquents chez l’enfant que chez l’adulte, 6 à 8 par an chez le nourrisson), ont un rendement modeste, un coût certain et nous expose à des refus des enfants et/ou des parents.

De plus, les délais souvent non négligeables pour la réalisation du test et l’obtention des résultats diminuent leur efficacité sur le dépistage et la prise en charge des clusters.

En pratique, si ces résultats sont obtenus en 24 heures pour la majorité des malades, il n’est pas rare que le délai soit de deux, trois, voire quatre jours, notamment en médecine libérale.

« Si le taux de positivité des PCR chez l’enfant reste faible, la poursuite de cette stratégie de PCR systématique chez l’enfant, s’avèrerait probablement très peu rentable tout en représentant un coût humain et financier conséquent pour la collectivité. »

Elles soulignent l’incohérence et l’absence de justification médicale des mesures sanitaires qui entravent considérablement les activités scolaires si indispensables à l’avenir des enfants

Le port obligatoire du masque pour les enfants est délétère

Le port d’un masque peut donner un faux sentiment de sécurité et donc faire oublier d’autres mesures sanitaires importantes tels que le lavage des mains et la distanciation sociale avec les adultes.

L’impact psychologique catastrophique

Le 10 février 2021, un communiqué du Collège de pédopsychiatrie rappelle les conséquences des mesures sanitaires sur les enfants et les adolescents : troubles du sommeil, du comportement, pleurs répétés, scarifications, retard de parole et d’apprentissage, anxiété et peur grandissantes, addictions, repli sur soi, symptômes dépressifs, somatisations, augmentation des violences intra familiales et des pensées suicidaires.

Autrement dit certains médecins se voient dans l’obligation de rappeler à d’autres les bases du développement du petit humain et de la pédiatrie.

Actions prévues

Le 28 juin a partir de 14 heures devant le théâtre municipal de Béziers

Confinement, masques, quarantaine, injections médicamenteuses obligatoires. Autant d’atteintes à l’enfance et l’adolescence sur une période aussi longue. du jamais vu dans l’histoire moderne sans justification au titre de la santé publique maintenant actée par tous les milieux scientifiques. Conséquences dramatiques pour nos enfants au niveau psychique, scolaire, social et sanitaire. Et si ils se rencontraient et si nous nous rencontrions,?  Pour partager, pour oublier, faire autrement maintenant, demain….

 

Rassemblement des soutien le 30 mai à partir de 13h30 devant le tribunal de Béziers

Un menuisier de Roquebrun se retrouve devant la justice ce 30 mai pour avoir envoyé trois mails à l’enseignante de son fils qui a imposé à l’élève le port du masque. Ce dernier avait pourtant fourni un certificat médical de contre-indication. Son père assure ne pas avoir été menaçant.

Sources

1. Medical Journals Refuse To Publish Landmark Danish Mask Study,  Lockdown Sceptics.

  1. Informations Coronavirus, Gouvernement.fr
  2. Spread of SARS-CoV-2 in the Icelandic Population, Daniel F. Gudbjartsson, Ph.D., Agnar Helgason, Ph.D.,Hakon Jonsson, Ph.D., Olafur T. Magnusson, Ph.D., Pall Melsted, Ph.D., Gudmundur L. Norddahl, Ph.D., Jona Saemundsdottir, B.Sc., Asgeir Sigurdsson, B.Sc., Patrick Sulem, M.D., Arna B. Agustsdottir, M.Sc., Berglind Eiriksdottir, Run Fridriksdottir, M.Sc., et al., The New Journal of Medecine.
  3. Protégeons les poumons de nos enfants !, Professeur Jacques de Blic, Chef de Service de Pneumologie et Allergologie Pédiatriques de l’Hôpital Universitaire Necker-Enfants malades, Fondation du souffle.
  4. Comment un masque mal porté augmente vos risques de contracter le virus, lettre du 29/09/2020.
  5. Port du masque : un risque pour le développement des enfants ?, Cocline Daclin, RTL.
  6. Coronavirus Covid-19, Société Française de Pédiatrie.
  7. Masque obligatoire dès 6 ans : quelles conséquences psychologiques pour les enfants ?, Allodocteur.
  8. Port du masque à 6 ans : avons-nous perdu (l’âge de) raison ?, Par Alexandra Flouris, psychologue hospitalière, Pédiatrie, GHU site Bicêtre, APHP , Emmanuelle Lacaze, psychologue spécialisée en neuropsychologie, Service de Neuropédiatrie, Hôpital Trousseau, APHP , Stéphanie de Bournonville, neuropsychologue, Pédopsychiatrie, Fondation Vallée et psychologue pour enfants-adolescents en libéral , Christelle Landais, psychologue clinicienne, psychanalyste, en Institut Médico-Educatif et en libéral et Marine Schmoll , psychologue clinicienne en établissements d’accueil de jeunes enfants et en libéral.
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